La mer Noire: espace stratégique
Espace stratégique depuis les guerres menées par les Romains contre Mithridate roi du Pont à la guerre de Crimée (1853-1856), la mer Noire est aujourd’hui plus que jamais au cœur de l’actualité internationale. De l’annexion de la Crimée par la Russie en mars 2014 aux nouvelles configurations de la « guerre des tubes », l’Observatoire des Etats post-soviétiques consacrera son prochain petit déjeuner à la mer Noire.

Ce sera l’occasion d’inaugurer un nouveau partenariat avec la revue Questions Internationales et de lancer le numéro spécial que cette revue consacre à la mer Noire. Notre invitée d’honneur sera Céline Bayou, analyste-rédactrice à la Documentation Française.
Observatoire des États post-soviétiques (OEPS)
L'Observatoire des États post-soviétiques (OEPS), dirigé par Catherine Poujol et Taline Ter Minassian, travaille à la recherche et l'analyse des processus de réorganisation régionale dans l'espace post-soviétique, à la veille médiatique de l'actualité politique, économique, géopolitique des États post-soviétiques, à l'étude du patrimoine et de l'architecture dans ces États. L’OEPS coordonne des activités scientifiques régulières, publie des ouvrages dont certains sont devenus de véritables outils pour comprendre la « transition post-soviétique », et organise des « petits-déjeuners » consacrés à l’actualité politique, économique, géopolitique des États post-soviétiques
Petit-déjeuner de l'Observatoire La mer Noire: espace stratégique Mardi 19 mai 2015 de 8h30 à 10h30 Inalco Salons d’honneur 2 rue de Lille 75007 Paris Contact |
Observatoire des États post-soviétiques (OEPS)
L'Observatoire des États post-soviétiques (OEPS), dirigé par Catherine Poujol et Taline Ter Minassian, travaille à la recherche et l'analyse des processus de réorganisation régionale dans l'espace post-soviétique, à la veille médiatique de l'actualité politique, économique, géopolitique des États post-soviétiques, à l'étude du patrimoine et de l'architecture dans ces États. L’OEPS coordonne des activités scientifiques régulières, publie des ouvrages dont certains sont devenus de véritables outils pour comprendre la « transition post-soviétique », et organise des « petits-déjeuners » consacrés à l’actualité politique, économique, géopolitique des États post-soviétiques