Le prévisible et l’imprévisible. Perspectives linguistiques, culturelles et didactiques

Colloque international « Le prévisible et l’imprévisible. Perspectives linguistiques, culturelles et didactiques » à l'Université de Pécs (Hongrie).

Jeudi 28 et vendredi 29 mars 2019 à l'Université de Pécs (Hongrie)

Pôle régional de l’Académie hongroise des sciences (PAB)
Villa Vasváry, Pécs, Jurisics Miklós U. 44.


Cet événement dont l’ouverture sera présidée par M. Peter Stockinger, vice-président du Conseil scientifique de l’Inalco est co-organisé par l’équipe de recherche Pluralité des langues et des identités : didactique, acquisition, médiations (PLIDAM), en partenariat avec l’Institut Français de Budapest (Ambassade de France en Hongrie), le Laboratoire des langues romanes du Pôle régional de l’Académie hongroise des Sciences (PAB) de Pécs, le Département de français de l’Université de Pécs et le Centre interuniversitaire d’Études Françaises (CIEF) de Budapest.

Le trente-troisième anniversaire du Département de français de l’Université de Pécs qui, depuis de longues années, coopère étroitement avec l’Inalco fournit l’occasion de réunir des universitaires et des jeunes chercheurs de France, de Hongrie et de divers pays d’Europe centrale et orientale.

Visant à la fois la promotion de travaux universitaires en langue française, et le développement de la Francophonie en Europe centrale et orientale, ce colloque exprime la nécessité de confronter les réflexions sur les multiples aspects « prévisibles et imprévisibles » de nos domaines de recherches et / ou de formations respectifs.

Les réflexions s’articuleront autour des axes thématiques suivants :

Axe 1 : Linguistique et langues de spécialité
Axe 2 : Littérature et arts
Axe 3 : Histoire et civilisation
Axe 4 : Traduction et interprétation
Axe 5 : Innovations numériques

Les bénéfices attendus d’un tel croisement des regards sont multiples : produire un gain de compréhension dans la lecture de programmes d’enseignement variés ; enrichir les approches scientifiques hongroises, centre-est-européennes et françaises en rapport avec les traditions intellectuelles qui contribuent à les façonner ; s’interroger sur le public et les enjeux des formations universitaires dans un monde de plus en plus global et dématérialisé ; œuvrer en faveur du décloisonnement disciplinaire et montrer la portée de nos recherches dans les débats qui traversent nos sociétés.